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 Soin Cancer 

Pour être soigné du cancer plusieurs combinaisons de traitements apportent de meilleurs résultats en complément des traitements médicaux.
Le jeûne, un régime sans glucides, le curcuma, la racine de pissenlit, la vitamine C, eau de Kaqun, les thérapies alternatives etc....

 

En tant magnétiseur et énergéticien je travaille avant et après les traitements sous chimiothérapie, l'immunothérapie ou radiothérapie. Cependant il est très important également de traiter les émotions présentes ou passées car cette maladie nous apporte un message. 

 

De nombreux chercheurs, docteurs et professeurs sont unanimes sur les liens psychologiques et cette maladie.

Le premier exemple de Jacques Martel formateur, conférencier et auteur de nombreux ouvrages tel que "Le pouvoir des mots", "Les 5 étapes de guérison" etc...: 
Le cancer est l'une des principales maladies du 20ème siècle. Des cellules anormales cancéreuses se développent et, le système immunitaire ne réagissant pas à la présence de ces cellules, elles prolifèrent donc rapidement. Les êtres humains ont souvent des cellules précancéreuses dans l'organisme mais le système immunitaire, c'est-à-dire le système de défense naturelle de notre corps, les prend en charge avant qu'elles ne deviennent cancéreuses. C'est  parce que ces cellules anormales se développent de façon incontrôlée et incessante qu'elles peuvent nuire au  fonctionnement d'un organe ou d'un tissu, pouvant ainsi affecter des parties vitales de l'organisme. Lorsque ces cellules envahissent diverses parties du corps, on parle de cancer généralisé. Le cancer est lié principalement à des émotions refoulées, du ressentiment profond et parfois de longue date, par rapport à quelque chose ou une situation qui me perturbe encore aujourd'hui et face à laquelle je n'ai jamais osé exprimer mes sentiments profonds. Même si le cancer peut se déclarer rapidement à la suite d'un divorce difficile, d'une perte d'emploi, de la perte d'un être cher, etc., il est habituellement le résultat de plusieurs années de conflit intérieur, de culpabilité, de blessures, de peines, de rancunes, de haine, de confusion et de tension. Je vis du désespoir, du rejet de moi. Ce qui se passe à l'extérieur de moi n'est que le reflet de ce qui se passe à l'intérieur, l'être humain étant représenté par la cellule, et le milieu de vie ou la société par les tissus. Plus souvent qu'autrement, si je suis atteint de cancer, je suis une personne aimante, dévouée, pleine d'attention et de bonté pour mon entourage, extrêmement sensible, semant amour et bonheur autour de moi. Pendant tout ce temps, mes émotions personnelles sont refoulées au plus profond de moi. Je me conforte et me leurre en trouvant satisfaction à l'extérieur plutôt qu'à l'intérieur de moi-même puisque j'ai une très faible estime de moi. Alors que je m'occupe de tout le monde, je mets de côté mes besoins personnels. Puisque la vie ne semble plus rien m'apporter, je capitule et manque d'envie de vivre. À quoi bon lutter ! Si je vis beaucoup d'émotions  fortes, de haine, de culpabilité, de rejet, je vais être en très forte réaction (comme la cellule) ; je vais même me sentir responsable des problèmes et des souffrances des autres et je voudrai m'autodétruire. « ]'en veux à la vie»,«elle est trop injuste».Je joue à la « Victime» de la Vie et je deviens bientôt « Victime » du cancer. C'est habituellement la « haine » envers quelqu'un ou une situation qui va me « gruger l'intérieur » et qui va amener les cellules à s'auto-détruire. Cette haine est profondément enfouie à l'intérieur de mon être et je n'ai pas souvent conscience qu'elle existe. Elle est enfouie derrière mon masque de « bonne personne ». Mon corps se désagrège lentement car mon âme se désagrège aussi : j'ai besoin de combler mes désirs non satisfaits au lieu de ne faire plaisir qu'aux autres. Je dois m'offrir des joies, des « petites douceurs ». j'ai accumulé ressentiment, conflits intérieurs, culpabilité, l'auto-rejet par rapport à moi-même parce que j'ai toujours agi en fonction des autres et non pas en fonction de ce que je veux. La patience exemplaire et présente chez moi s'accompagne très souvent d'une faible estime de soi. j'évite de me donner de l'amour et de l'appréciation car je crois que je ne le mérite pas. Ma volonté de vivre devient presque nulle. Je me sens inutile. 
Je dois reprendre contact avec mon « moi » intérieur et m'accepter !• tel que je suis avec mes qualités, mes défauts, mes forces et mes faiblesses. j'accepte !• de laisser tomber de vieilles attitudes et habitudes morales.  acceptation !. de ma maladie est essentielle pour que je puisse ensuite « lutter ». Si je refuse d'accepter !• ma maladie, comment puis-je la guérir ? J'ouvre mon cœur et je prends conscience de tout ce que la vie peut m'apporter et à quel point j'en fais partie. En recevant un traitement en guérison naturelle, en massage ou toute autre technique avec laquelle je me sens à l'aise, cela aura pour effet une harmonisation qui me permettra d'ouvrir ma conscience à toutes les merveilles de la vie et à la beauté qui m'entourent et qui renforcera ainsi mon système immunitaire.

 

Le deuxième exemple: Le Docteur Lawrence Leshan, détenteur d'un doctorat de Philosophie en développement humain (Human Developpement) aux USA, est psychologue clinicien et chercheur depuis plus de 50 ans a notamment produit des études suivant des processus scientifiques sur les liens entre psychologie et cancer. Depuis, son intérêt s'est aussi porté sur des aspects spirituels et la parapsychologie. Dans son livre "Vous pouvez lutter pour votre Vie", ses discours sont proches de la psychologie humaniste puisque centrées sur l'épanouissement du sujet.

Dès le début de son livre, LeShan parle du lien entre facteurs psychologique et l'apparition d'un cancer. Il évoque les théories allant dans ce sens, comme celles de Richard Worthington qui émet l'hypothèse d'un rapport entre cancer et la perception que le patient a de lui-même et de son environnement. Il annonce très clairement la difficulté à amener une preuve scientifique de ces liens. Pour étayer sa théorie, 455 personnes cancéreuses furent soumises à des tests et près de 12 000 dossiers servirent de groupe témoin. 250 courtes interview sur 14 ans furent aussi réalisées. « Le trait le plus frappant était que le patient avait perdu toute raison d'être (autrement dit sa raison de vivre) ». LeShan remarque avant le démarrage du cancer la perte d'une relation sociale capitale (conjoint, décès d'un parent, départ des enfants, licenciement...). Cette étude révéla aussi une tendance dans « l'incapacité de l'individu à exprimer colère ou ressentiment » ainsi qu'une tension émotionnelle lié à la mort du père ou de la mère.
Suite à ces résultats, Il dressa un profil émotionnel de ces patients :

Le désespoir fut un des grands point commun des patients en phase terminale, bien avant le diagnostic du cancer.

Il remarque aussi que le fait d'être face à un mal incurable est une occasion de démarrer une psychothérapie pour de nombreuses personnes qui le refuseraient si non.

Dans presque tous les cas, un préjudice avait été porté aux facultés naissantes de l'enfant de communiquer avec autrui, et cela au cours de l'enfance, généralement dans les 7 premières années 

Les personnes atteintes d'un cancer rencontrées par LeShan    semblaient tous disposer de plus d'énergie émotionnelle qu'ils ne pouvaient en dépenser. « C'est une sainte » ou encore « C'est un homme si gentil » sont des expressions souvent utilisées pour les décrire.

Deux blocages s'expriment suite à la perte d'une relation essentielle : d'une part la perte de « la possibilité d'exprimer les sentiments qui faisaient que la vie lui paraissait valoir la peine d'être vécue et, d'autre part, il est incapable d'exprimer la colère et l'hostilité que suscite en lui la perte de sa raison de vivre. 

Dans sa conclusion, LeShan propose aussi de poser les questions suivantes, de manière préventives, en observant si l'une d'elle nous interpelle, et que cela nous invite dès maintenant à aller se rencontrer :

1- Suis-je capable d'exprimer ma colère lorsque je suis particulièrement furieux ?

2 – Est-ce que j'essaie de tirer le meilleur parti des choses, quoi qu'il arrive, sans jamais me plaindre ?

3 – Ai-je divers centre d'intérêts et sources de plaisir dans la vie ou toute mon énergie est-elle centrée sur une relation particulière (travail, conjoint, enfants, etc.), de sorte que si je venais à perdre cette relation, je n'aurais plus de raison de vivre ? (Par exemple, si je devais prendre ma retraite, ne préférerais-je pas mourir ? Lorsque mes enfants me quitteront, est-ce que j'estimerai que ma vie vaut la peine d'être vécue?)

4 - Est-ce que je me considère comme quelqu'un d'estimable et digne d'être aimé ou est-ce que je me figure la plupart du temps être moins que rien ? Est-ce que je me sens seul, isolé des autres, rejeté ?

5 – Est-ce que j'ai fait de ma vie ce que je voulais en faire? Mes relations avec autrui sont-elles satisfaisantes ? Suis-je raisonnablement optimiste ou au contraire sans espoir aucun de jamais m'épanouir ?

6 – Si j'apprenais qu'il ne me restait plus que six mois à vivre, continuerais-je à mener la même vie ? Ai-je des rêves, des ambitions et des désirs non réalisés dont je n'ose parler à personne et qui m'ont tourmenté toute ma vie ? 

Pour revenir à mes soins, il est important de porter un autre regard sur cette maladie. Ce chemin est nécessaire car il permet de retrouver son équilibre perdu. Retrouver son être intérieur permet d'enclencher l'auto-guérison. Ces soins permettent également de retrouver suffisamment d'énergie pour renouer avec notre moi profond. De libérer nos anciennes blessures et émotions  intérieures. 
Suivant l'avancement et le stade de la maladie il est nécessaire d'établir des soins adaptés ainsi qu'un programme lié aux traitements médicaux. 

N'hésitez pas à me contacter pour organiser un premier rendez-vous afin de ressentir si cela peut vous convenir. Il est important d'écouter vos ressentis pour décider de suivre telle ou telle thérapie. La thérapie peut nous convenir et pas le thérapeute.